Avec l’archet d’argent, sur la lyre d’ivoire,
Faire fleurir de fraîches pivoines en attendant l’calvaire. Poème Le sommeil du condor. Le croissant au dormeur lance ses lueurs vertes Dans le grand sac, le vieux A des rêves merveilleux Et légers comme un nuage, Qu'il cache sous l'oreiller Où la nuit doit sommeiller L'enfant sage. Lorsque, sortant des eaux, le pied sur sa coquille,
Poème : Le sommeil. Règles de confidentialité, Aucun membre ne se trouve actuellement sur le site, quis Donec dapibus suscipit facilisis non luctus sed commodo mi, sit. Où la vie, au trépas, s’unit et se mélange,
Roulera sourdement, sur le pavé du seuil Par-delà l'escalier des roides Cordillières, Par-delà les brouillards hantés des aigles noirs, ... Baigné d'une lueur qui saigne sur la neige, Il attend cette mer sinistre qui l'assiège : Elle arrive, déferle, et le couvre en entier. Qu’ensommeillent déjà de leur arôme d’ombre [ Paul Claudel ] Extrait de Cinq Grandes Odes, Les Muses Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site. Les cheveux de la nuit, d’étoiles d’or mêlés,
Les songes vrais ou faux de l’Érèbe envolés,
Sommeil, fils de la nuit et frère de la mort ; Écoute-moi, Sommeil : lasse de sa veillée, La lune, au fond du ciel, ferme l’oeil et s’endort Et son dernier rayon, à travers la feuillée, Comme un baiser d’adieu, glisse amoureusement, Sur le front endormi de son bleuâtre amant, Par la porte d’ivoire et la porte de corne. Auteur : Philipon de La Madelaine. Fatigués de tourner sur leurs muets pivots,
Et qui n’as de tous deux que ce qu’ils ont de beau ;
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Et semble l’arc tendu par l’Archer enfantin. Poèmes, Poésie et Citations publiés par les membres, Forum de poésie: Poèmes publiés par les membres. Le monde cruel des poètes Depuis mon enfance, j’écris des poèmes, J’ai tout essayé, des vers libres au sonnet... Ai-je fait mon devoir ? Écoute-moi, Sommeil : lasse de sa veillée,
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Je marcherai sans bruit, sans bruit le portail sombre Se suspendre l’essaim des zéphirs ingénus ;
L'utilisation du site JePoeme.fr implique l'acceptation des Conditions d'utilisation. Quand ayant réuni mes guirlandes ouvertes vaste thème poétique! Mais le parfum montant des corolles magiques S’arrêtent assoupis et suspendent leurs rondes. La lune, au fond du ciel, ferme l’oeil et s’endort
Elle fait au grand air baiser ses beaux seins nus,
Quand est couché le soleil, Le vieux Bonhomme sommeil Prend son manteau tissé d'ombre Et portant un grand sac plein, Il commence son chemin, Dans le sombre. Sur le front endormi de son bleuâtre amant,
Tablatures Beau-Papa - Vianney, Bad Bunny - Dakiti traduction, Sech - Relación (Remix) traduction. Je t’implore à genoux, écoute-moi, sommeil ! Publié 29 juillet 2016 30 juillet 2016 par Elise Lapprand. Endormie, où l’Amour s’est encor reposé, Et guidera vers lui mes regards curieux, Le sommeil du mandarin, un poème de Guy de Maupassant. Voici 9 poèmes/berceuses piochés au fil de mes lectures. O jeune homme charmant ! Pleine d’eau du Léthé, chaque nuit nous fais boire,
Où dans le beau jardin s’épanouit et pleure… Enfoncent leurs naseaux et leur poitrail dans l’onde,
Je le trouve adorable ton poème, merci Pat pour cette lecture très agréable, Merci du Commentaire Astree et belle soirée, Un doux voyage de couleurs et de sensations, léger comme une plume. Je te donne le pas sur Phébus-Apollon,
et je veux à ta gloire,
Au long de son dos brun pendent tout débouclés ;
Lève du doigt le pan de son rideau vermeil,
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Mais le parfum montant des corolles magiques Et mon sort plus heureux que ton sort, ô Psyché ! Peuplent seuls l’univers silencieux et morne ;
LE PONT DU SOMMEIL Je suis dans une bulle de savon bleutée, rose, irisée, elle embaume le citron , légère comme un duvet, elle tourne radieuse, portait par le vent. Si le pauvre peut mettre son sommeil à profit pour rêver, le riche peut, quant à lui, user ses insomnies à faire des projets. tu nous fais plus de bien que n'en peut donner l'espérance. Ce site utilise des cookies. Enfant mystérieux, hermaphrodite étrange,
Une coccinelle curieuse, se pose sur la sphère, puis s’éloigne. Comme un baiser d’adieu, glisse amoureusement,
Qui tenant sur la main une patère noire,
Et pourtant c’est un dieu jeune, sans barbe et blond,
Sous les épais rideaux de ton alcôve sombre,
Poésies sur le thème de la nuit. Dont le rauque aboiement si souvent te troubla,
En continuant à utiliser ce site, vous acceptez l'utilisation des cookies. D’un songe et d’un sommeil à jamais léthargiques, Je viendrai les suspendre au seuil silencieux. Du fond de ta caverne inconnue au soleil ;
Chanter des vers plus doux que le miel de l’Hybla ;
Je marcherai sans bruit, sans bruit le portail sombre Roulera sourdement, sur le pavé du seuil Qu’ensommeillent déjà de leur arôme d’ombre Et d’oubli, mes pavots vermeils au cœur de deuil. Le sommeil a passé l'éponge sur ma tristesse d'hier, mon serrement de cœur a disparu. Je te préfère même à la blanche Vénus,
Et mon sort plus heureux que ton sort, ô Psyché ! Dont la flamme est funeste à l’amoureux destin, Reçois bénignement mon encens et mes voeux,
Assoupira mon corps auprès du tien couché. couronné de pavots,
Même au jeune Iacchus, le doux père de joie,
Sur Frap.cl venez découvrir toutes les dernières pépites du Rap français. Extrait du poème : Sommeil ! A l’ivresse, à l’amour, à tout divin sommeil. J’ai observé le ciel Ses myriades d’étoiles et ses réponses partielles, Sur la crête... Tout les mots ne peuvent pas justifier mon amour pour toi je t’aime beaucoup plus que sa je t’aime... Il y avait au fond du ciel Des nords et des regrets Si bien qu’en fin de compte... Mon âme fût divisé en deux jadis Me laissant un vide incommensurable Je me suis perdue à me chercher... Beauté de la divine créature, tu es la Eve de l’univers Ecole de la droiture, tu es la star... Tranquille sur ta presqu’île Vive le temps d’une idylle Quand dehors tout est or Quand dedans tout est mort... Je pourrais rêver de paix Qu’il n’y ait plus de Guerre Mais les Hommes trouveraient D’autre Moyen de redevenir... ©2020 Jepoeme.fr
Je n’allumerai pas la lampe psychéenne Soit que la nuit dans l’air peigne ses noirs cheveux. Et laisse aux blonds anneaux de ses cheveux de soie
Vous devez vous connecter ou vous enregistrer pour répondre ici. Citation de Henri-Frédéric Amiel ; Journal intime, le 18 juin 1865. Et son dernier rayon, à travers la feuillée,
Sous les arceaux muets de la grotte profonde,
Un dieu tout rayonnant, aussi beau qu’une fille ;
Je t’aime, ô doux sommeil ! Par la porte d’ivoire et la porte de corne. Le vent même retient son haleine, et les mondes,
Sur sa table de nacre au reflet argenté, La lune souriait aux tours de porcelaine, Votre commentaire sur Poème sommeil - 21 Poèmes sur sommeil Le poème n’est point fait de ces lettres que je plante comme des clous, mais du blanc qui reste sur le papier. Le doux jet d’eau d’argent, comme un long lys brisé. Et verser l’opium sur ton autel d’ébène. Car la lune arrondit sa courbe à demi pleine Tu seras bienvenu, soit que l’aurore blonde
Où les songes légers mènent sans bruit leur ronde,
Je connais le chemin qui mène à la demeure Sommeil, fils de la nuit et frère de la mort ;
Soit, que les chevaux blancs qui traînent le soleil
Sommeil, dieu triste et doux, consolateur du monde ! Si vous continuez à utiliser ce dernier, nous considérerons que vous acceptez l'utilisation des cookies.