Car (la grâce d') Allâh est immense et Il est Omniscient. Bien au contraire, de nombreuses preuves indiquent l'évidence du « khalîfah » après le Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam) de Abû Bakr as-Siddîq (radhiallahu 'anhu), ainsi que [les preuves] des compagnons du Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam). wal-Jamâ’ah» parmi les compagnons du Prophète Dans [8] Question : […] Qu'en est-il du Madhhab [Dogmes] des Chiites « Imâmiyyah » et autres qu'eux […] ? A biography of the Messenger of Allah, sallallaahu alayhi wa sallam, based only on the good and authentic stories, with all harakats, all references, and bring the Fawaid cited by some great scholar... To give you the best possible experience, this site uses cookies. Si vous les invoquez, ils n'entendent pas votre invocation ; et même s'ils entendaient, ils ne sauraient vous répondre. Basé sur cela, si un de vos proches organise votre mariage avec une personne acceptable, le représentant du groupe de « Bohra » n'a aucun droit de contestation sur cela, et le mariage sera valide, tant que les conditions de mariage [obligatoires] sont réunies. Et il ['Alî] n'a pas dit qu'il était le premier d'entre eux, comment alors une personne parmi les gens peut se permettre de mentir au sujet du Messager d'Allâh (sallallahu 'alayhi wa sallam), et dire ainsi qu'il a nommé 'Alî comme « Khalîf ? Si le mariage est fait tel que mentionné ci-dessus, alors vos enfants vous seront légitimes et aucune personne du groupe de « Bohra » ou autre qu'eux ne pourra nier cela. élevé au-dessus de Son Trône, alors qu’Allah l’a démontré dans Son Et nul ne peut dire [ce mensonge], pour qui croit en Allâh et le Jour Dernier, et nul ne peut dire cela, pour qui a la perspicacité la plus légère dans les décisions Islamiques [Hukm al-Islâm]. » Il n'a jamais dit de lui-même qu'il était le meilleur de cette Ummah ou que le Messager d'Allâh (sallallahu 'alayhi wa sallam) l'avait nommé comme « khalîf ». Ils doivent en même temps prendre garde aux ambiguïtés [équivoques] de la part de ces Chiites, et de leur dogme caduc [Bâtil]. Et discute avec eux de la meilleure façon. Mais je vous conseille à vous et à ceux comme vous d'abandonner le « madhhab al-Bohra » et tout autre « madhhâhib » Chiites [Chî'ah], parce qu'ils vont tous à l'encontre de la voie islamique de Muhammad (sallallahu 'alayhi wa sallam) à bien des égards. All accents (harakat). Que pensez-vous de ce livre ? » [3] Et aussi : « Il fait que la nuit pénètre le jour et que le jour pénètre la nuit. » [Calife]. 'Alî lui-même n'a jamais demandé cela pour lui, et aucun des Compagnons [Sahâbah] n'a réclamé cela pour lui. Et si il leur est possible de les conseiller et les appeler pour embrasser le chemin de « Ahl as-Sounnah » ils doivent alors le faire, parce qu'Allâh dit : « Par la sagesse et la bonne exhortation appelle (les gens) au sentier de ton Seigneur. [5] Question-2 : Quel est l'avis concernant les sacrifices faits à cette occasion ? Cela devrait être fait à travers une cour de jugement Islamique [Charî'ah] dans Mombassa, afin qu'aucune objection ne puisse être soulevée par le représentant du groupe de « Bohra ». Et certes Allâh a empêché et protégé cette Ummah Muhammadiyyah (sallallahu 'alayhi wa sallam) de former un consensus sur l'égarement. » Il n'a jamais dit de lui-même qu'il était le meilleur de cette Ummah ou que le Messager d'Allâh (sallallahu 'alayhi wa sallam) l'avait nommé comme « khalîf ». Il n'a jamais dit que les Compagnons [Sahâbah] -radhiallâhu 'anhum- avaient été injustes [à son égard] et qu'ils lui ont pris ses droits. Il a été rapporté de façon sûre dans beaucoup de « ahâdîth » [Récits Prophétiques] que le Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam) a dit : « Un groupe de ma Ummah [Communauté] adhèrera toujours à la vérité en ayant le dessus. » [6] Et il y a d'autres versets qui indiquent l'obligation d'appeler les gens à Allâh -Subhânahu, d'ordonner le convenable et d'interdire le blâmable. Chacun d'eux s'achemine vers un terme fixé. 'autoplay':false, [1]   Question : Quelle est la décision pour ceux qui prétendent que le Messager (sallallahu 'alayhi wa sallam) a attitré 'Ali (radhiallâhu 'anhu) comme « Khalîf » [Calife], et disent que les Compagnons [Sahâbah] (radhiallâhu 'anhum) ont comploté contre lui ? Et discute avec eux de la meilleure façon. Nous demandons à Allâh de nous assister et d'assister tous les musulmans à faire ce qu'Il aime et agrée, et de nous protéger et de protéger l'ensemble de nos frères contre les épreuves qui jettent dans l'égarement. Basé sur cela, si un de vos proches organise votre mariage avec une personne acceptable, le représentant du groupe de « Bohra » n'a aucun droit de contestation sur cela, et le mariage sera valide, tant que les conditions de mariage [obligatoires] sont réunies. Bien au contraire, de nombreuses preuves indiquent l'évidence du « khalîfah » après le Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam) de Abû Bakr as-Siddîq (radhiallahu 'anhu), ainsi que [les preuves] des compagnons du Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam). de plâtrer les tombes, de s’asseoir dessus et de construire par-dessus ». Réponse : Il n'y a aucun doute que les représentants d'autorité parmi les différents groupuscules qui prétendent être musulmans, sont dans l'obligation d'adhérer aux décisions Islamiques dans l'ensemble des affaires, et qu'ils doivent prendre garde à tout ce qui va à l'encontre de cela. Et pour des références, revenez aux livres « al-Khatoût al-'Arîdha » - « Mukhtasar at-Tuhfat al-Ithna 'Achrîyyah » et « Minhâj as-Sounnah » de SHeikh al-Islâm [Ibn Taymiyyah], et vous y trouverez beaucoup d'éclaircissements quant à leurs innovations. Réponse : L'obligation pour eux, et qu'ils fassent le Hadj, quand même ils doivent le faire avec les Chiites [Chî'ah], si ils sont capables de faire [le Hadj]. La réponse à cette question est identique à la première question. Les savants spécialistes de tafsîr du Qour-ân ont confirmé que ce verset en lui-même est une preuve pour exempter Allâh du corps. » Il est impossible que cette Communauté [Ummah] des générations les plus nobles puisse consentir sur ce qui est faux [caduque], et ce sont les Califats [Khilâfah] de Abû Bakr, 'Umar et 'Uthmân. » Le Qâdhî [Juge] est le substitut du souverain [Sultân] et il le représente, et si le walî [gardien] refuse [d'exécuter le mariage de la fille], la décision [hukm] sur lui est que son décret est dénué de tout. Ils doivent en même temps prendre garde aux ambiguïtés [équivoques] de la part de ces Chiites, et de leur dogme caduc [Bâtil].